Pour communiquer avec lecteurs, danseurs et amoureux de l’Argentine, j’ai choisi le blog plutôt que les réseaux sociaux qui se cantonnent trop souvent à une expression forcément sommaire, fugace et parfois narcissique. J’y satisfais certes un désir permanent d’écriture, mais avec le projet social d’échanger avec un réseau intéressé par la culture autour du tango, de l’Argentine et, au delà, de l’Amérique du Sud. Et je réponds ainsi à une suggestion d’amis, qui pensent que mes informations et observations glanées à Buenos Aires peuvent aider et guider les néophytes du voyage vers la Mecque du tango . Un de mes modèles reste le Blog de Denise Anne Clavilier, www. barrio-de-tango.blogspot.com, mais je me démarquerai de son orientation très documentée, littéraire et politique par des articles plus personnalisés et parfois d’apparence plus futile, s’ils touchent des faits de la vie quotidienne. Et mon idée est enfin d’organiser un va et vient avec mes écrits d’une part et avec mes lecteurs d’autre part.
Loin de moi l’idée prétentieuse de me prendre donc pour un écrivain, dans une rentrée littéraire qui met en avant aussi bien des auteurs confirmés comme Carrère, ou des narratrices d’histoires d’alcôves politiques. Mais, quand on a pris beaucoup de son temps pour rédiger, les réactions des lecteurs sont d’autant plus encourageantes qu’elles émanent d’un public diversifié qui ne compte pas que des danseurs. Je crois intéressant, sans forfanterie, d’en traduire quelques-unes pour inciter de nouveaux lecteurs à me donner leurs impressions. Elles ont été le plus souvent écrites et je les publie avec l’accord de leurs auteurs.
Des lecteurs qui ne dansent pas:
- « J’ai cherché une intrigue romanesque que je n’ai pas trouvée, c’est plutôt un récit, une tranche de vie. » ( P. B)
- » Ton écriture a pris de la vigueur, la construction du roman est solide, tes personnages son attachants, même Antonio, avec son côté revendicatif un peu agaçant. » ( MC. L)
- » Tes descriptions sont parfois si précises qu’elles ne m’ont pas laissé assez de place pour rêver. » (A. N)
Des danseurs et souvent amoureux de l’Argentine:
- « Je viens de dévorer ton livre en deux jours. Cet ouvrage si bien documenté a dû te demander un vrai travail d’observateur affûté. » ( A. BK)
- » Je me suis régalée car étant passionnée de Tango dansé et chanté, je suis assoiffée de connaissances et d’immersion dans un monde que j’ai envie de rencontrer. Ce “Buenos Aires querido”… au coeur des mots… je l’ai trouvé. J’ai voyagé, je me suis familiarisée avec les lieux, les espaces de vie, les habitudes de danse, les désordres économiques et sociaux, l’histoire et la géographie. Il y a beaucoup de tendresse au fil des lignes, et elle m’a bercée avec délicatesse. C’est exactement ce dont j’avais envie. » (N. M)
- « Je me régale à lire votre livre » La Dernière Cuite », reçu ce matin par Amazon ! Je suis allée deux fois en Amérique du Sud , Argentine et Chili et reconnais bien l’ambiance et les lieux que vous décrivez . Merci pour ce bon moment . » ( F. S)
- » Ton livre m’a donné envie de revenir à Buenos Aires pour voir tout ce que je n’ai pas vu et que tu m’as fait entrevoir. D’ailleurs, je pense que ton livre devrait faire partie des bagages que les tangueros emportent dans leur voyage tango en Argentine » (N. G)
Merci aux lecteurs de « La Dernière Cuite » qui continueront de me donner leurs impressions, utiles aussi pour mes futurs écrits, déjà en cours…
Merci aux découvreurs du blog: je suis preneur aussi de suggestions pour des articles susceptibles de les concerner.
Pour commander l’ouvrage, adressez vous à votre libraire préféré, à l’éditeur » http://www.editions-harmattan.fr » ( y voir l’espace auteur )… ou à l’auteur directement.
PS: la citation du titre est empruntée au roman de Joël DICKER, « La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert » (Editions De Fallois), Prix de la Vocation Bleustein Blanchet, Grand Prix du Roman de l’Académie française et Prix Goncourt des Lycéens, en 2012. C’est un ouvrage dont Bernard Pivot dit » Si vous mettez le nez dans ce gros roman, vous êtes fichu. » En prime d’une intrigue haletante, il y est beaucoup question des affres de la création littéraire.